Chaque jour, un universitaire, un bloggeur, un journaliste, un opposant politique connu ou anonyme est appréhendé par la police ou l’armée. Toute voix qui critique le régime algérien est contrainte au silence. L’état d’exception sanitaire et le "rester-chez-vous" décrétés il y a quinze jours servent aux autorités à mettre à mal la contestation populaire, bien que le mouvement soit suspendu depuis la fin mars.
La répression est quotidienne malgré le confinement
21 avril 2020 - par
France Culture