La majorité des rapports et autres études parus ces dernières années sur la situation de la presse en Algérie mettent l’accent sur l’émergence de la presse en ligne et des chaînes de télévisions privées. Elles soulignent également le fait que cette évolution a induit le recul de la presse traditionnelle qui connaît une érosion galopante de ses ventes et de son audience. Mais le sujet dont on parle beaucoup moins concerne les entreprises propriétaires des nouvelles chaines de télévision. Hormis quelques cas, comme celui du groupe Haddad, d’Echourouk et d’Ennahar TV, on ne dispose pas d’informations sur les profils des nouveaux patrons.