En Algérie, tout le monde ou presque préfère le circuit parallèle au système bancaire pour échanger des dinars — non convertibles — avec d’autres monnaies. Et l’écart entre le taux de change officiel et celui du marché noir risque fort de s’aggraver si les rumeurs de dévaluation prochaine se confirment.
ALGERIE - Le florissant marché noir des devises
Rumeurs de dévaluation
10 mars 2018 - par
Orient XXI