L’indignation n’est toujours pas retombée au Cameroun, plusieurs jours après la diffusion sur les réseaux sociaux, d’une vidéo insoutenable attribuée à l’armée et où l’on voit des militaires exécuter froidement des femmes et des enfants. Et ce, malgré le fait que le gouvernement a démenti que ces horribles actes aient été commis par l’armée. Cette vidéo n’est la première à choquer : avec la crise sécuritaire dans les régions anglophones, Twitter et Facebook notamment sont devenus les canaux de diffusion de photos et vidéos tout aussi violentes et dégradantes.
La diffusion de vidéos violentes provoque colère et doutes
13 juillet 2018 - par
RFI