La cinéaste autochtone Alanis Obomsawin n’a jamais pensé qu’elle assisterait à un tel revirement de son vivant. Cinquante ans après avoir commencé sa brillante carrière en dépit d’obstacles majeurs en matière de financement, la réalisatrice âgée de 85 ans, qui a grandi au Québec, est euphorique de voir les films autochtones occuper une position aussi « excitante » à l’aube de 2018 grâce à de nouvelles initiatives comme le Bureau de productions audiovisuelles autochtones du Canada.
CANADA - L’avenir s’annonce rayonnant
pour le cinéma autochtone
1er janvier 2018 - par
Le Devoir