Lorsque je traverse les rues et les places du Caire, je manque de m’étouffer entre les grands immeubles entassés, les concerts de klaxons et les gaz d’échappement des voitures immobilisées par les embouteillages, la foule de gens qui sautent dans un bus ou un taxi pour se rendre au travail ou pour accompagner leurs enfants à l’école. Les villages de la campagne égyptienne donnent à voir une vie aux antipodes de celle de cette mégapole de 20 millions d’habitants qui ne dort jamais.
EGYPTE - Sur la "mer pharaonique"
faire s’envoler les soucis
13 juillet 2018 - par
AFP