« Demandez à un commerçant malien pourquoi il ne va pas sur Facebook : il vous dira qu’il ne voit pas l’intérêt de payer des données mobiles pour difficilement comprendre le contenu, faute de maîtriser suffisamment la langue française, a fortiori à l’écrit. En revanche, si on lui propose un réseau local où il peut poster par la voix et dans sa langue les produits qu’il vend et qu’il peut livrer chez vous, il comprendra bien mieux son intérêt », explique Mamadou Gouro Sidibé.
MALI - Lenali, le réseau social
qui s’adresse aux illettrés
24 février 2018 - par
Jeune Afrique