Sur un lopin de terre de l’île Bizard, il vise l’autosuffisance alimentaire. Récit de l’an 1. L’endroit n’est pas une start-up au sens habituellement entendu. Mais les quatre jeunes hommes qui s’y trouvent aujourd’hui semblent eux aussi posséder leur propre champ lexical : cycles de gaspillage, circuit court, économie de confiance, plants résilients, permaculture, autosuffisance, sécurité alimentaire.
QUEBEC - Le retour à la terre
de Philip Zoghbi
11 septembre 2017 - par
Le Devoir