Dans son dernier livre, « Un si beau diplôme », l’écrivaine rwandaise honore son père, qui l’a poussée à faire des études, grâce auxquelles elle a échappé au génocide. Également assistante sociale, la Normande d’adoption s’est engagée auprès des migrants de Ouistreham.
« C’est par le savoir que j’ai échappé à la machette »
Scholastique Mukasonga
27 août 2018 - par
Libération