On pourrait presque dire que l’exil est dans son ADN. À 9 ans déjà, il est obligé de fuir avec sa famille au Cameroun, durant la guerre de N’Djamena (1979-1980). En 1998, il part à nouveau, mais pour étudier l’administration commerciale à Tunis. Makaïla Nguebla est alors un jeune homme sans histoires, fils d’un chef coutumier du quartier de Bololo, à N’Djamena. Mais, au sortir de ses études, il commence à envoyer des courriers à Jeune Afrique, publiés dans la rubrique du « Courrier des lecteurs »
TCHAD - Makaïla Nguebla
un blogueur en exil
7 janvier 2017 - par
Jeune Afrique