La sériciculture et le tissage de la soie sont des métiers traditionnels. Cependant, avec le développement de l’économie de marché et l’intégration du pays dans les flux internationaux, les habitants n’ont plus besoin de cultiver des plantes leur fournissant du tissu. Il leur suffit simplement d’aller aux marchés pour s’approvisionner en soie chinoise ou en tissu synthétique. De nombreuses boutiques de souvenirs et même certains villages de métier traditionnel spécialisés dans la soie vendent des soieries chinoises produites à bas prix et proposant davantage de motifs.
Mettre en valeur la soie vietnamienne
16 avril 2018 - par
Le courrier du Vietnam