C’était l’autre soir, dans un café à la mode près de Plainpalais. D’ordinaire, on y écoute des musiques d’avant-garde, groove tropical, latino pointu, rock perturbé. Cette fois, la bande-son détonne : du rap. On interroge le serveur. « Et pourquoi pas ! »
À la fin, le rap a séduit même les punks
22 octobre 2018 - par
La Tribune de Genève