La lecture du recueil À deux pas de l’enfer a fait écho au long échange qu’Abdellatif Laâbi m’a accordé mi-avril lorsqu’avec son épouse Jocelyne il m’a accueilli à son domicile pour un dialogue d’environ trois heures autour de son œuvre et de son itinéraire personnel. Tout en évoquant ce que ces « vers libres » (Vivant !, in À deux pas de l’enfer) ont suscité chez moi, j’aimerais parvenir à restituer à la fois l’atmosphère chaleureuse de cette conversation et quelques questions qui, si je l’ai bien compris, tiennent particulièrement à cœur à Laâbi.
Abdellatif Laâbi : « Les voies de la littérature sont impénétrables »
19 juin 2024 - par
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