Les Algériens, qui ont rêvé des banlieues françaises dans les années 90, ont découvert la terrible vérité : Tati n’est pas une marque de luxe. Désormais, la demande de visa pour l’Hexagone diminue et les émigrés privilégient d’autres destinations.
ALGERIE - Au bled, Barbès éclipsé
par Québec ou Munich
4 janvier 2016 - par
Bondy Blog