Fuite des capitaux, fraude fiscale, surfacturation, sous-facturation, détournement de biens sociaux, système de la « chkara », règne des « semsar » et autres intermédiaires, commissions faramineuses... L’économie informelle est devenue non plus l’exception mais la règle, dans un pays dont la cagnotte des importations dépasse les 60 milliards de dollars.
ALGERIE - Comment l’informel vampirise l’économie
31 mai 2015 - par
El Watan