Une semaine après la mort du président Idriss Déby tué au combat, aussitôt remplacé par son fils Mahamat Idriss Déby, jeune général de 37 ans, plusieurs partis et mouvements d’opposition appelaient les Tchadiens à descendre dans la rue mardi contre ce qu’ils qualifient de « coup d’Etat ». Un de plus dans l’histoire tourmentée de ce pays qui n’a jamais connu de transition pacifique. Plusieurs personnes ont été tuées dans les manifestations. Coup de téléphone à N’Djamena à Baldal Oyamta, coordinateur national de la Ligue tchadienne des droits de l’homme.
« Après la répression, les manifestations vont continuer »
4 mai 2021 - par
Le Temps