Avec un personnel enseignant « suffisant au niveau du primaire mais mal reparti, mal employé » et « concentré dans les grands centres aussi bien dans les écoles que dans les bureaux », un professeur des lycées et collèges au lycée Philippe Zinda Kaboré « qui n’a que deux heures par semaines sur 18 qu’il devait assurer » et au supérieur un personnel vieillissant ce qui tend à provoquer une inversion de la pyramide des grades, « on va droit dans le mur », alerte la députée Juliette Bonkoungou.
Enseignement au Burkina Faso : « Le personnel est suffisant mais mal réparti »
26 novembre 2017 - par
Burkina 24