Plus de 50 000 personnes travaillent dans un secteur qui continue à recruter. Les superficies augmentent de plusieurs milliers d’hectares et les producteurs ivoiriens jouent désormais la carte d’un produit naturel, du respect de l’environnement et de l’écologie, alors que des producteurs d’Amérique latine, dont la concurrence est féroce, continuent à utiliser massivement les produits chimiques servant à détruire les parasites des cultures. (Ph : Wikimedia commons - Jessica Sagou)
COTE d’IVOIRE - Banane douce
forces et faiblesses d’une filière en expansion
1er avril 2018 - par
Afriki Presse