Dakar, ville d’espoirs et de déboires. Ici, viennent s’inhumer des âmes égarées, se fabriquent des destins, se répandent des lumières qui, à la fois, illuminent et aveuglent. L’effervescence s’accommode des vaines et légitimes espérances. La puissance des œuvres de Docta est de nous dire tout cela par ce qui était considéré, il n’y a guère longtemps, comme de vulgaires barbouilles indignes des rues d’une capitale, le graffiti.
Dans l’univers du précurseur d’un art de la rue
Docta, artiste graffeur
30 octobre 2016 - par
Le Soleil Online