« Les églises ont beau être vides, on n’a jamais vu autant de gens à genoux devant la langue anglaise, vénérée comme une madone », écrit Jean Delisle, professeur émérite de l’Université d’Ottawa, dans un des essais qui composent le dossier que la revue Argument consacre au franglais.
De quoi le franglais est-il le symptôme ?
les Dead Obies, l’étendard de l’utilisation du franglais
28 juin 2015 - par
Le Devoir