Des briquettes de charbon disposées sur de larges tamis sèchent sous le soleil ardent de septembre. Courbées tout autour, des femmes vêtues de blouses bleues les retournent en papotant. « C’est ici que nous fabriquons tout le charbon naturel de Gado », montre fièrement Fatou Ousmane, 46 ans, dans un éclat de rire
Des réfugiées « fières » de fabriquer leur charbon écolo
11 novembre 2018 - par
Le Monde Afrique