« Le français n’a aucune valeur. » Cette déclaration-choc de Tayeb Bouzid, ministre algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a fait grand bruit tout l’été. En Algérie, casser du sucre sur le dos de la langue française en faveur de l’arabe est une figure rhétorique obligée, mais on n’avait pas encore vu un ministre appeler à remplacer le français par l’anglais.
Diversion en Algérie
31 août 2019 - par
Le Devoir