La décision prise par le chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika, le 11 mars, de renoncer au 5e mandat et de reporter l’élection présidentielle, avec comme conséquence la prorogation du 4e mandat, a été massivement rejetée par les Algériens. Aujourd’hui, au lieu d’apporter des garanties, des signaux forts quant à sa bonne foi, le système en place a enclenché ce qui s’apparente à des manœuvres dans le but de casser la mobilisation citoyenne.
Face à la mobilisation populaire : le jeu dangereux du pouvoir
18 mars 2019 - par
El Watan