La dernière fois qu’il s’était rendu à Paris, c’était en septembre 2011, il y a presque 7 ans. Au contraire des nombreux chefs d’État du continent, particulièrement ceux de l’espace francophone, le président rwandais n’est pas de ces sous-préfets de la Coloniale qui vont régulièrement rendre compte au grand chef blanc. Surtout que ses relations ne sont pas des plus chaleureuses, et c’est un euphémisme, avec la France qu’il a accusée toujours d’avoir participé au génocide de 1994 et de ne pas en faire suffisamment pour traquer et juger les présumés génocidaires réfugiés sur son sol.
France / Rwanda : L’OIF comme prix du réchauffement
29 mai 2018 - par
L’Observateur Paalga