Pas de limite de temps. On allait retrouver un berger sur sa montagne et passer quelques jours avec lui en plein été. Deux au moins, mais au fond autant qu’il le faudrait. Pas d’angle prédéterminé, l’idée plutôt de raconter le temps long. Jusqu’à l’ennui possiblement. S’imprégner des odeurs, des bruits, du paysage, être à l’affût mais sur un mode contemplatif.
La montagne est à lui
24 novembre 2018 - par
AFP