L’histoire remonte en 2017 ou un ami virtuel, supposé être de confiance, a balancé tous les complexes de Majoie HOUNDJI sur le réseau social Facebook après une dispute d’adolescents. Pour la jeune Béninoise qui avait au moment des faits 20 ans, ce fut le début d’un calvaire qui a duré plus d’une année. « Femme plate, vilaingo, ardoise gucci, zéro sein, qui peut épouser un homme, tu ressembles à un cadavre, tu as vendu tes seins ». Majoie a connu, maintes fois, l’odeur de la stigmatisation. Au final, elle s’en sort et devient une icône.
« Le Cyberharcèlement m’a poussé au suicide », Majoie Houndji
4 avril 2023 - par
Afrikelles