Au cours des vingt-cinq années qui ont suivi le génocide des Tutsis du Rwanda, qui a causé la mort d’environ 800 000 personnes entre avril et juillet 1994, le Rwanda a renversé deux idées reçues : qu’on ne pouvait appliquer une justice de masse après un crime de masse, et qu’un pays pauvre ne pouvait s’offrir des réparations, relève Thierry Cruvellier, de la Fondation Hirondelle.
Le génocide le plus jugé de l’histoire
6 avril 2019 - par
Le Temps