Une suspension pour le bien de tous… En raison des menaces liées à l’épidémie de coronavirus, le 20 mars 2020 a donc été le premier vendredi sans manifestations populaires depuis le 22 février 2019, date du déclenchement du Hirak. Une décision qui, au final, rencontre l’adhésion d’une population inquiète face à l’épidémie, d’autant qu’elle n’ignore rien de l’état de dégradation du système de santé algérien.
Le Hirak au péril du coronavirus
25 mars 2020 - par
Orient XXI