Le nouveau rapport sur le déclin de la biodiversité publié cette semaine par l’ONU est venu rappeler, encore une fois, l’impact dévastateur de l’activité humaine sur la vie sur Terre. Et ni le Canada ni le Québec ne sont épargnés par cette érosion du tissu vivant qui a mis des millions d’années à se former et à rendre la planète habitable. Or, nos gouvernements ne sont pas à la hauteur lorsque vient le temps d’éviter le pire.
Le naufrage à nos portes
11 mai 2019 - par
Le Devoir