On connaissait l’autrice depuis la sortie de son premier roman, Dans le jardin de l’ogre, en 2014, couronnée en 2016 par le Prix Goncourt pour Chanson douce. Ces deux dernières années, on a découvert la citoyenne engagée, l’humaniste révoltée. Quand elle a « quelque chose à dire », la Franco-Marocaine n’hésite pas à défendre les droits et les libertés – des femmes, des sans-papiers, des inaudibles – à travers des tribunes uppercuts, ou par le biais de son essai, Sexe et mensonges, consacré à la « misère sexuelle » au Maghreb.
Leïla Slimani : « J’écris sur ce qui me fait le plus peur »
18 mars 2019 - par
Le Temps