Après de longues années de répression, les Tunisiens s’expriment enfin librement mais cet acquis de la révolution de janvier 2011 reste fragile, comme l’ensemble des libertés publiques et individuelles, selon des ONG. Sous le régime de Zine el Abidine Ben Ali, la plupart des Tunisiens chuchotaient dans un coin pour parler de politique, et la presse ne relatait que le discours officiel.
Les libertés acquises depuis 2011 restent fragiles
17 janvier 2016 - par
Le HuffPost