Les autorités de santé publique ne cessent de le répéter : mieux vaut se cloîtrer chez soi pour se protéger du coronavirus et ne pas contribuer à sa propagation. Mais pour les itinérants, ces conseils sont difficilement applicables. Les grands refuges montréalais ont dû adapter leurs pratiques et resserrer les règles d’hygiène. À l’ère de la COVID-19, l’organisation des services est devenue un casse-tête quotidien.
Les refuges pour itinérants sur le qui-vive
18 mars 2020 - par
Le Devoir