À la veille d’une tournée en Europe, qui doit le mener à Paris, Berlin, puis à Bruxelles, où une conférence internationale, sur la crise syrienne, se tiendra les 4 et 5 avril, le premier ministre libanais, Saad Hariri, a voulu tirer la sonnette d’alarme.
Lors d’une rencontre avec des correspondants de la presse étrangère, organisée vendredi 31 mars, à Beyrouth, le chef du gouvernement a déclaré que le pays du Cèdre, l’État qui accueille le plus de réfugiés syriens par habitant au monde (1,5 million sur une population autochtone de 4,5 millions) « approche du point de rupture ».
LIBAN - « au point de rupture » appelle la communauté internationale à l’aide
1er avril 2017 - par
Le Monde