Jamais la population carcérale burkinabè n’avait compté en son sein une si grande masse critique de personnalités et de dignitaires du pays. La chute du régime de Blaise Compaoré en 2014 et le coup d’État manqué de septembre 2015 en sont les principales raisons. Cela a été l’opportunité pour nous d’approcher le ministère de la Justice pour comprendre comment est organisée la prise en charge sanitaire du détenu. Cette thématique a été aussi notre porte d’entrée pour aborder les questions de restauration, de sexualité et de formation préprofessionnelle des détenus...
Maisons d’arrêt du Burkina
sécurité, santé et sexualité dans nos prisons
8 février 2016 - par
L’Observateur Paalga
