Un être, c’est un univers en soi. Un passé, des amours, des luttes, un milieu. Le dernier roman de Lyonel Trouillot, Ne m’appelle pas Capitaine, convoque deux univers. Celui d’Aude, une jeune « gosse de riche » qui s’invite à la table du Capitaine, dans son quartier de Morne Dédé à Port-au-Prince, un lieu enclavé dans la pauvreté « d’où l’on s’en va » et « où personne ne revient ».
« Ne m’appelle pas Capitaine » : la nécessité des temps à venir
2 octobre 2018 - par
Le Devoir