Depuis 400 ans, le « coût du château de Versailles » marque la division entre les personnes qui comprennent ce qu’est le « soft power », et celles qui, jamais, n’y comprendront rien. « La culture, le reflet d’un pays à l’étranger, la diplomatie, l’enseignement du français à l’étranger… ça coûte trop cher. » Ça, c’est dans le pire des cas (mais un cas qui touche aussi bien le simple citoyen que le ministre). Et puis, il y a le jmenfoutisme. « On peut bien enlever un peu d’argent sur cette ligne budgétaire-là. Les Québécois ne votent pas en France, et les Français de l’étranger, s’ils sont nombreux, ne votent pas beaucoup. C’est pas eux qui vont venir râler. »
On dit comment « soft power » en français ?
4 septembre 2017 - par
Le Courrier de Floride
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