Six mois après Charlie, dans un pays où l’autocensure bâillonne plus aisément que les interdits, qui sont les nouveaux « fantassins de la démocratie » ? Où s’arrête leur liberté d’expression ? Dessinateur satirique, un « métier-passion » ou une passion sans métier ? « L’Orient-Le Jour » a rencontré quatre jeunes caricaturistes libanais, de styles différents, mais animés par une même ferveur. Armés de leur crayon et d’un ordinateur, ils dessinent lorsqu’ils ne peuvent plus se taire.
Peut-on encore être caricaturiste au Liban ?
6 juillet 2015 - par
L’Orient le Jour