Parler d’être et de faire société, ensemble, ne rapproche pas les parties formant notre tout. Ça les éloigne, constate l’essayiste Rachida Azdouz, psychologue et spécialiste des relations interculturelles, qui appelle, dans Le vivre ensemble n’est pas un rince-bouche (Édito), à sortir des « esprits clan », des « illusions d’appartenance à des familles idéologiques » et des constructions identitaires monolithiques pour retrouver le sens du bien commun.
QUEBEC - Rachida Azdouz et la parole des « manoritaires »
31 mars 2018 - par
Le Devoir