« Je ne suis pas un propriétaire tout à fait normal », lance Ousmane Kagoné, en riant. À la tête de Gestion immobilière Kagoné, l’homme possède une centaine de logements à Montréal et à Longueuil qu’il n’hésite pas à louer à des migrants à statut précaire. Parmi ses locataires, des demandeurs d’asile haïtiens arrivés cet été en provenance des États-Unis. « Je veux dire par là que je comprends la situation des nouveaux arrivants et je leur donne une chance. Tout comme on m’a donné ma chance à moi aussi. »
Un propriétaire de plus de 100 logements tente de briser les préjugés à l’égard des demandeurs d’asile
11 septembre 2017 - par
Le Devoir