Après une écoute, il y a déjà des chansons familières. Après deux écoutes, des refrains se sont nichés à demeure dans des recoins du cœur, le refrain d’Où on s’est trouvés, celui de Juste toi pour moi, celui de Chaque printemps, celui de Tes yeux à Barcelone (la ligne « Tu te souviens de quoi, dis-moi ce qui défile ? » tourne en boucle). Après trois écoutes, l’album au complet a fait sa place. Ça n’arrive pas si souvent chez les artistes de la génération indie folk.
Salomé Leclerc, le chemin qui mène à la clarté
26 octobre 2021 - par
Le Devoir