Ils sont allergiques à la hiérarchie, portent des jeans-baskets et écoutent Spotify au bureau. Ils se rencontrent virtuellement et fuient les réunions qu’ils considèrent coûteuses en temps et inutiles. Ils se méfient du corporate life, trop contraignant, vertical, cloisonné et impersonnel, et rêvent d’entreprendre. D’aucuns auront reconnu les fameux « Y » ou « digital natives », ces individus nés entre 1980 et 1997.
SUISSE - L’étonnante journée de travail des « digital natives »
1er janvier 2018 - par
Le Temps