Au sortir de la 26e conférence climatique de l’ONU (COP26), le monde se dirige toujours vers un réchauffement qui pourrait dépasser les 2,7 °C. Pour le Québec, la hausse serait encore plus forte, ce qui provoquera une augmentation importante des vagues de chaleur, des problèmes de santé et des coûts pour un système déjà sous pression, sans oublier les impacts de la montée des eaux et de l’érosion côtière. Or, la province est très mal préparée pour faire face à une crise qui ne manquera pas de frapper fort.
Un Québec vulnérable et mal préparé à la crise climatique
16 novembre 2021 - par
Le Devoir