Les Québécois qui ont du mal à comprendre ou à parler l’anglais pourraient être accueillis, dans un avenir pas si lointain, par des agents bilingues aux postes frontaliers de Champlain et de Trout River, entre autres.
Un sénateur réclame que les douaniers américains apprennent le français
24 mai 2015 - par
La Presse (Montréal)