Quand elle s’est installée à Paris, en 2018, pour y poursuivre un doctorat en robotique, Karen Tatarian n’avait pas imaginé, un seul instant, se retrouver enfermée entre quatre murs avec, pour unique compagnon, un robot. Pourtant, c’est ce qu’a vécu cette étudiante libanaise qui, parallèlement à sa thèse menée à la Sorbonne, travaille à Softbank Robotics, une compagnie qui commercialise des robots pour les entreprises.
Une doctorante libanaise se penche sur l’intelligence sociale des robots
12 avril 2022 - par
L’Orient le Jour