La Commission nationale de prévention contre la torture, instituée en mai 2018 mais toujours pas opérationnelle, doit prêter serment mardi prochain devant le chef de l’État. Le président Aoun a déjà convoqué cette haute instance indépendante formée de cinq membres, qui n’a jamais exercé ses fonctions faute de budget. Avec pour objectif de mettre en place un système national de prévention de la torture.
Vers un mécanisme national de prévention contre la torture
13 juillet 2019 - par
L’Orient le Jour