Dans le centre du pays, Khadija, 17 ans, a été séquestrée et torturée cet été. Après le viol collectif de la fille du bus en 2017 à Casablanca, et face au silence de l’État marocain, des écrivains et des personnalités civiles prennent la parole. Tribune d’Abdellah Taïa.
Viol de la fille aux tatouages
qui va sauver les femmes marocaines ?
2 septembre 2018 - par
Libération