C’est en 2008 que l’affaire a commencé. Cette année-là, les promoteurs entament le remplissage du lac Boeung Kak, au cœur de la capitale cambodgienne. Le lac est essentiel à la régulation des eaux dans cette région soumise aux flux et reflux du Mékong et à la vie des 4 252 familles qui se trouvent ainsi affectées par l’opération coup de poing annihilant leurs habitations, leurs propriétés et leurs ressources économiques liées à l’aquaculture.
CAMBODGE - Les voleurs de terre bientôt jugés
4 septembre 2017 - par
Amnesty International