Le Centrafrique est maudit, définitivement perdu, incapable de se réformer, réfractaire à la stabilité, impénétrable à la sincérité et laminé par ses propres enfants, des Centrafricains, si prompts à se quereller, à s’auto-dénigrer ou à se désigner (mus par un complexe d’infériorité) un directeur de conscience, de préférence un étranger.
CENTRAFRIQUE - Une ode d’espérance pour un pays qui se meurt !
par Adrien Poussou
30 janvier 2016 - par
Al Wihda