Le projet d’abattre 20% de la population des « Mauritius bats », Pteropus niger, satisfont, à la veille des grandes récoltes de mangues et de letchis, la logique des producteurs de fruits, qui avancent qu’elles sont les principales responsables de leurs pertes. Mais du point de vue de l’écologie et de la science, elle ne peut tomber au pire moment.
Nos chauves-souris
si uniques et pourtant si mal-aimées
3 novembre 2015 - par
Le Mauricien