Une plage du littoral tapissée de bouteilles en plastique que la mer a rejetées. Des torrents d’eau de pluie qui dévalent les escaliers d’un quartier résidentiel et s’invitent dans les logements, alors que les habitants sont privés d’eau potable. Des canalisations éventrées, qui laissent couler ce précieux liquide, indéfiniment. Des camions par dizaines qui déversent dans les lits des fleuves leurs cargaisons de déchets, de goudron parfois aussi.
Mais qu’avons-nous fait, nous Libanais, de toute notre eau...
3 mars 2018 - par
L’Orient le Jour